Bovins de boucherie La consommation est peu dynamique
L’ambiance est lourde à cause du manque de consommations, surtout de pièces nobles. La baisse des volumes limite la pression sur les bonnes vaches viandées, correctement finies.
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Les tarifs des charolaises R= et U– lourdes se maintiennent à Cholet. À Saint-Christophe-en-Brionnais en revanche, ils baissent. Les charolaises R finies se sont négociées entre 3,45 et 3,60 €/kg de carcasse ; les U– se vendent 3,80 €/kg de carcasse, et les R+ et 3,70 €/kg de carcasse.
La tendance est au maintien des prix dans les parthenaises, les aubracs, les blondes d’Aquitaine ou dans les limousines lourdes et de qualité bouchère (U). La pression augmente en femelles d’entrée de gamme. Les allaitantes O se négocient entre 2,70 et 3,10 €/kg de carcasse en fonction du poids.
Du côté des réformes laitières, la dégradation des prix se poursuit, même si les vaches viandées et finies résistent mieux à la pression des acheteurs. Les prim’holsteins P=3 de 260-280 kg se négocient entre 2,80 et 2,90 €/kg de carcasse. Le tri est sévère pour les animaux de bas de gamme et maigres. Les P–1 sont commercialisées entre 1,50 et 1,70 €/kg de carcasse et les P2 de 1,70 € à 2,00 €/kg de carcasse en fonction du poids et des abattoirs.
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